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REPONSE AU QUIZ N° 35
Bonne réponse de :
Bravo Ă tous les deux !
Quel enfant ne rĂȘve pas de conduire une vraie voiture ? Dans les annĂ©es 60, il n'Ă©tait mĂȘme pas courant que chaque famille ait une voiture, alors le dĂ©sir de se mettre au volant dĂšs le plus jeune Ăąge semblait utopique. Avec la Mini Alpine Renault A220, ce rĂȘve est devenu rĂ©alitĂ© pour certains.
De cette petite Alpine, 58 ont été fabriquées par DOG (Distribution d'Outillage Général), sous la direction de Michel Brouare à Briare (Loiret). Quelques-unes ont survécu, l'un d'entre elles se trouve dans la collection du Manoir de l'Automobile à Lohéac. Un second exemplaire a longtemps été exposé dans la vitrine du service aprÚs-vente de l'usine Alpine, avenue de Bréauté à Dieppe.
Sous la petite carrosserie, qui ressemble beaucoup Ă celle de l'A220, se trouve un vĂ©ritable chĂąssis en acier, tandis que la puissance est fournie par un moteur monocylindre JLO Ă deux temps, qui nĂ©cessite un mĂ©lange de 3,5 % d'huile avec l'essence. Le dĂ©marrage du moteur se fait Ă l'aide d'une cordelette, comme pour une tondeuse Ă gazon. L'embrayage fonctionne automatiquement et une chaĂźne a Ă©tĂ© choisie pour la transmission du moteur Ă la roue arriĂšre gauche uniquement. Le fait qu'une seule roue soit entraĂźnĂ©e donne suffisamment de sensations. ĂquipĂ©e de belles roues Alpax Ă trois branches, la Mini Alpine Renault A220 atteignait une vitesse maximale de 80 km/h, ce qui en faisait un spectacle pour le conducteur et le public.
La carrosserie en plastique était montée sur des silentblocs sur le chùssis. L'avant et l'arriÚre étaient amovibles. Le siÚge avait une position fixe, tandis que les pédales étaient réglables. On y retrouvait un vrai pare-brise ainsi qu'une véritable vitre arriÚre. Ces voitures de course étaient à l'origine fabriquées avec un toit Targa. Le poids était de 104 kg. Elles étaient également équipées d'une direction à crémaillÚre, de phares fonctionnels, de freins à tambour et des roulements d'une Renault 4.
Bonne réponse de :
Bravo Ă tous les deux !
Quel enfant ne rĂȘve pas de conduire une vraie voiture ? Dans les annĂ©es 60, il n'Ă©tait mĂȘme pas courant que chaque famille ait une voiture, alors le dĂ©sir de se mettre au volant dĂšs le plus jeune Ăąge semblait utopique. Avec la Mini Alpine Renault A220, ce rĂȘve est devenu rĂ©alitĂ© pour certains.
De cette petite Alpine, 58 ont été fabriquées par DOG (Distribution d'Outillage Général), sous la direction de Michel Brouare à Briare (Loiret). Quelques-unes ont survécu, l'un d'entre elles se trouve dans la collection du Manoir de l'Automobile à Lohéac. Un second exemplaire a longtemps été exposé dans la vitrine du service aprÚs-vente de l'usine Alpine, avenue de Bréauté à Dieppe.
Sous la petite carrosserie, qui ressemble beaucoup Ă celle de l'A220, se trouve un vĂ©ritable chĂąssis en acier, tandis que la puissance est fournie par un moteur monocylindre JLO Ă deux temps, qui nĂ©cessite un mĂ©lange de 3,5 % d'huile avec l'essence. Le dĂ©marrage du moteur se fait Ă l'aide d'une cordelette, comme pour une tondeuse Ă gazon. L'embrayage fonctionne automatiquement et une chaĂźne a Ă©tĂ© choisie pour la transmission du moteur Ă la roue arriĂšre gauche uniquement. Le fait qu'une seule roue soit entraĂźnĂ©e donne suffisamment de sensations. ĂquipĂ©e de belles roues Alpax Ă trois branches, la Mini Alpine Renault A220 atteignait une vitesse maximale de 80 km/h, ce qui en faisait un spectacle pour le conducteur et le public.
La carrosserie en plastique était montée sur des silentblocs sur le chùssis. L'avant et l'arriÚre étaient amovibles. Le siÚge avait une position fixe, tandis que les pédales étaient réglables. On y retrouvait un vrai pare-brise ainsi qu'une véritable vitre arriÚre. Ces voitures de course étaient à l'origine fabriquées avec un toit Targa. Le poids était de 104 kg. Elles étaient également équipées d'une direction à crémaillÚre, de phares fonctionnels, de freins à tambour et des roulements d'une Renault 4.
